le 13 octobre, le texte reproduit en bas de page était diffusé. Pour la première fois, on entend de la part d'un homme politique évoquer la notion d'homme d'Etat dans dans le cadre de l'enjeu énergétique.
Certaines questions devraient émerger:
- définition d'un homme d'Etat, il a été proposé dans l'intervention en question, celui qui est au dessus de l'intérêt partisan, est ce là la bonne définition? Mais alors qu'en est il de la capacité de vision, de projection, d'entraînement, de rassemblement et d'exemplarité?
- que signifie l'écologie? Est ce le rejet ou la recherche de la sécurité d'une bonne alternative à l'énergie fossile le vrai sens dans ce débat? Est ce la recherche d'un regard systématique empreint de respect de la légation naturelle le vrai sens d'un comportement écologique? Alors de nouveau on voit l'intérêt politique habiller ses décisions de la couleur verte sans chercher à équilibrer l'activité humaine du bon paramètre de la durabilité et du renouvellement de l'héritage naturel. Les gisements sont pourtant là, relais de la croissance qui s'imposera à tous les hommes soit intellectuellement soit par la force incontrôlable des éléments météorologiques.
- C'est cette croissance qui tirera l'industrie avec de nouvelles valeurs ajoutées et non l'industrie qui générera une nouvelle écologie, alors diffuser la peur de la délocalisation pour une part bien faible du compte d'exploitation que constitue l'énergie comparée aux ressources humaines et à la matière première pour n'en citer que deux revient à éviter le véritable débat de la compétitivité incluant forcément le cadre juridique et fiscal, espérons que les animateurs du débat politique sauront poser les vraies questions.
En attendant le rebond est assuré dans le sondage avec ce virage.
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